MFR Éditeur

 

Née à Montréal le 9 juin 1958, Kristine Amel a traversé son enfance à Lachine, son adolescence dans les Basses-Laurentides, pour revenir vivre à Montréal le 9 juin 1976. Diplômée du HEC de Montréal, après seize ans passés en comptabilité, dont treize à son compte, lauréate en 1994 au Gala Concourson pour son poème Les Secrets de mon silence.
En 1998, elle décide de troquer les chiffres pour les lettres en publiant une autobiographie en poésie, Regard sur ma vie, qui est devenue bestseller et a été distribuée dans 3 continents.

Ralentie par plusieurs obstacles dont un AVC et sept chirurgies au cerveau, elle ne s’est pas laissé détourner de sa mission de transmettre sa philosophie et vous présente aujourd’hui son roman, rempli de charme et de sensibilité. Un héritage qu’elle vous lègue.
Comment devenir soi-même quand on a été quelqu’un d’autre toute sa vie ? C’est la question que se pose Jade. Pour se fondre dans l’image que les personnes autour voulaient qu’elle ait, elle s’est oubliée et ne se reconnaît plus.
Un bon matin, elle décide de prendre son destin en main et demande de l’aide pour retrouver son identité. En plus de sa thérapeute, son grand ami est là pour l’accompagner dans sa démarche. C’est d’ailleurs Alexandre qui lui apprend à communiquer avec son Ange. Au fil de leur relation, il deviendra un mentor dont les préceptes enrichiront toutes les sphères de son existence.
Sur sa route, elle fera un week-end de Rebirth – Respiration consciente –, une expérience inoubliable qui éclairera sa vie sous un nouveau jour. Visite d’un Ange, c’est le cheminement spirituel et psychologique de Jade et l’histoire d’une belle et tendre amitié entre un homme et une femme

 

Saint-Méthode s’est progressivement développé dans le canton d’Adstock sur un site orographique des contreforts des Appalaches. À ses débuts en 1880, c’est une mission rattachée à Saint-Éphrem-de-Tring. En 1888, elle s’en détache pour constituer la municipalité d’Adstock et, en 1889, elle est créée paroisse Saint-Méthode. Ayant satisfait aux conditions requises à sa nomination, elle est érigée canoniquement sous le nom de paroisse Saint-Méthode-d’Adstock en 1893 et constituée officiellement sous le nom de municipalité Saint-Méthode-d’Adstock en 1894. Elle doit son nom aux racines socio-démographiques de ses habitants et à un contexte historique.

Avant la bataille des Plaines d’Abraham de 1759, la population de la Nouvelle-France est à 99 % d’origine et de langue françaises. Après que Wolfe eut vaincu Montcalm lors de la mémorable bataille, le Régime Britannique s’installe dans la colonie avec dessein d’angliciser sa population et d’en tirer profit. Par l’Acte de Québec de 1763, la Nouvelle-France devient Province de Québec. Sous le Régime Français, les terres étaient concédées par seigneurie. Pour contrer ce modus operandi, le Régime Britannique procède par découpage en cantons et en rangs en 1792. Tout le territoire au sud du fleuve Saint-Laurent depuis Sorel jusqu’à la hauteur de Québec en sera affecté et sera désigné sous le nom des Cantons de l’Est. Leurs noms sont empruntés à la toponymie anglaise et les lots sur les rangs sont désormais concédés, libres de toute redevance.

Principalement venus de la Beauce, les colons essaimèrent dans le secteur de Saint-Méthode à compter de la proclamation du canton en 1869, peut-être même avant. Le réseau routier s’étend entre les rangs et aux localités voisines pour le plus grand bien de la colonisation. Graduellement, la communauté s’organise et procède à la construction de l’église en 1905, du couvent en 1909 et du presbytère en 1911. L’essor économique de Saint-Méthode va prendre de l’ampleur avec la fondation de la Caisse populaire en 1935 et, l’année suivante, la population locale profite de meilleurs services postaux avec l’ouverture de son bureau de poste. En soutien aux événements sociaux, s’ajoute en 1937 la salle paroissiale.

C’est en grande partie grâce à des photos d’autrefois qu’il a été possible de suivre l’évolution de Saint-Méthode-d’Adstock et, par le fait même, de reconstituer une fraction de son passé avant 1950. Des commentaires et des souvenirs les accompagnent tout au long de leur présentation.

Claude Turcotte - 16 août 2016

 

Le gros duvet qui tombe ce matin, « si agréable pour nos yeux », me dit un jour un client.

– Et si bon pour les sucres », de lui répliquer.

– Ah ! je ne connais pas ça.

– Bien oui, cette neige ‘pelotante’ colle au tronc de l’érable et, en fondant avec le soleil, la sève n’en sera que plus abondante. Ceux qui ont entaillé des érables de mon enfance le savent. Et je me remémore le goût de cette eau sucrée dégoulinant sur le menton quand on buvait à même la chaudière trop grande.

– J’aurai appris en vous téléphonant. »

Cette anecdote a ravivé une flamme que Claudette entretient de là-haut.

Et si la lecture de Mignonne, inconnue à l’atelier d’écriture, avait alors suscité autant d’émotions, pourquoi pas l’étoffer, puis raconter à notre famille aux nombreuses ramifications, aux gens de la région ou au public intéressé des pans de vie de Mignonne et les mignonnes du Rang 9 de Saint-Méthode.

Mignonne, la jument de mon enfance, assidument présente aux travaux de la ferme de cette période, tout comme les quatre filles aînées et mignonnes avant que des bras mâles plus robustes n’arrivent pour donner un coup de main…

Puis en repos, la mare aux queues de poêlons, les jeux innocents  dans la tasserie, la marche du dimanche de papa au permanent…

Et ce jour inoubliable où les mignonnes, assises sur le cap rocheux dépassant le hangar, sont aux premières loges, défilant la vie de Mignonne revenue à l’étable qui lui est familière pour…

À SUIVRE… automne 2017?

 

Un berger donne sa vie pour sauver son rêve. Que peut-il donner de plus? Et que devient un rêve si bien nourri? Voilà un événement qui mérite d'être raconté aux enfants, porteurs de tant de rêves naissants. Cette histoire est pour eux.

 

L’auteur est diplômé en archéologie de l’Université du Québec à Montréal. Il a travaillé pour plusieurs librairies et il a écrit pour différentes revues communautaires à Montréal en tant que critique de cinéma et d’art de critique de cinéma et d’art de même qu’en tant qu’éditorialiste.

 

Georges a 18 ans. Il file une vie paisible chez Tantine, et bientôt passe le cap de la majorité, 21 ans à l’époque. Puis le jeune homme se découvre des intérêts autour desquels il va développer ses talents. Il devient altruiste. Il se dévoue autant qu’il peut pour sa tante peu encline à lui en laisser la chance. Ensuite, dans l’apprentissage de l’autonomie, des défauts et des comportements lui sont néfastes. En sera-t-il bientôt conscient ? Il se remémore aussi de bons souvenirs de son enfance. Tentera-t-il de renouer avec ceux qui sont doux à son coeur? Ou bien son cœur vibrera-t-il plus fort encore pour...

 

Originaire de La Trinité-des-Monts dans le comté de Rimouski, Michelle Lévesque vit une retraite paisible en Estrie. L’écriture a toujours fait partie de sa vie, et suite aux recherches entreprises par sa sœur Raymonde sur la vie de leurs parents, Rose-Aimée et Florent, elles se sont lancé le défi de raconter leur histoire afin qu’elle ne se perde pas dans les méandres du temps. 

 

Native de Saint-Marcellin, village situé sur les territoires de Val Neigette de Rimouski, Raymonde Lévesque vit sa retraite dans les paysages de La Haute-Saint-Charles, non loin de Québec. Très jeune, tout ce qui touche la littérature la fascine; c’est l’essence de sa vie. Collaboratrice, elle remplit la promesse faite à son père Florent, en 1980, de porter son message de vie à ses nombreux descendants, et plus loin encore.

 

Dans la forêt du grand nord québécois de 1926, l’amour naît dans le cœur de Rose-Aimée et Florent. Ce récit est basé sur des faits et des personnages réels, tout en étant romancé.

 

La vie du jeune couple est fondée sur des principes religieux bien ancrés au fond de leur être. Le grand voyage qu’ils entreprenaient ensemble serait rempli d’amour, certes, mais ils n’auraient jamais cru qu’en s’épousant, ils traverseraient une époque difficile, avec les débuts de la Grande Dépression, en 1929.

 

En pratique, comment auraient-ils pu deviner ce que le destin leur réservait à Sainte-Odile-de-Rimouski, puis à Saint-Marcellin, à La Trinité-des-Monts, et à la fin, à Sainte-Thérèse-de-Blainville en banlieue de Montréal?

 

Raymonde le déclare : l’espèce humaine est grande; il y a aussi l’envers de la réalité.

 

1er décembre 2012 – L’hiver approche. Le froid me transperce. Comme si le froid et la période des fêtes étaient associés à de mauvais moments.

 

Surtout, ça me rappelle cette danse que je fais chaque mois de décembre. Aller dans la famille, me forcer. Le masque s’effrite. Comme s’il ne me faisait plus. Faut-il que j’en fasse un autre?

 

Et Décembre me ramène, comme chaque année, le mal de vivre que j’eus un hiver qui faillit être le dernier, mais qui fut bien le dernier d’un ami. 10 ans de lutte sans résolution. 10 ans de masques et de bals.

 

Que faire pour cesser d’avoir peur de cette partie de moi que je ne maîtrise que par la seule force de ma rationalité? Combien de luttes aurai-je à mener pour rester moi?

 

Là, je me fais regarder d’en bas. On m’envie. Je suis en plein envol. Je vole et m’épuise à me chercher depuis si longtemps. JE VEUX TROUVER.

 

À aligner des mots choisis par le Cœur et approuvés par la Raison en Chronique d’une névrotique, Daphné Han Harvey arrive à articuler sa pensée.

 

Se trouvera-t-elle?

 

Tout a commencé pendant les cours de perfectionnement du français à l’Association de l’Ouïe de l’Outaouais.

C’est en écoutant les récits de vie incroyables et passionnants de trois personnes vivant avec une surdité que le grain a été semé… Ce récit était relié au montage d’une bande dessinée communautaire qui avait pour but de sensibiliser les citoyens au vécu de personnes vivant avec une surdité dans l’Outaouais.

Petit à petit, la semence a poussé… À l’occasion des visites de Diane, Gervaise et Louise au bureau, nous avons rêvé, discuté et réfléchi à l’intérêt et à l’importance de faire connaître la culture sourde. Écrire le récit de leur vie se transformait en un projet réalisable, utile, et surtout passionnant. Le bourgeon prenait forme…

Le fait d’avoir participé à un projet scolaire ayant pour but d’initier des élèves de 6e année aux signes de base de la langue LSQ a démontré l’intérêt que pouvait susciter la découverte d’un monde dont les modalités de communication sont très peu connues. Une tige s’est mise à croître…

À leur tour, Yvon et Gisèle se sont laissé tenter. La tâche était gigantesque, mais combien gratifiante! Puis, d’autres feuilles, tiges et pétales se sont formés pour s’épanouir en une magnifique fleur appelée « Vivre parmi les entendants ».

C’est ainsi qu’est né ce livre unique…

Bonne lecture! Andrée Alexandre et Carole Normand Association de l’Ouïe de l’Outaouais

 

Carlos est né en Amérique Centrale. Quand il m’a raconté son histoire, en fragments un peu décousus, j’ai été si intéressée que transcrire ses paroles m’a paru tout naturel. J’ai cherché à construire une image de sa vie en remettant ses récits en ordre chronologique.

L’image apparaît dans ce livre où la pauvreté domine avec les effets qu’elle engendre.

Voici Carlos avec sa voix au débit un peu lent qui raconte sans recherches d’effets : sa résistance, sa détresse, ses éclairs de bonté, ses faux pas, ses voyages improvisés, ses évasions miraculeuses, ses marches interminables…

Même si la pauvreté étend ses ailes sur toute sa vie, elle n’arrive pas à prendre la vedette. Elle s’efface devant la seule richesse à laquelle Carlos peut prétendre : la mystérieuse liberté donnée à celui qui ne possède rien et n’est possédé par personne.

 

Du temps où j'étais camionneur de métier, je parcourais les États-Unis. En traversant les nombreux états américains, tout spécialement le Wyoming et l'Utah, je pouvais apercevoir des hordes de chevaux galoper librement dans les prairies valonneuses étalées entre les montagnes aux capuchons enneigés. L’idée m'est alors venue d'écrire Mon parcours de cavalier.

L'élément déclencheur fut sans doute lorsque, au nord de la Californie, je pénétrai pour la première fois dans une forêt de séquoias, ces arbres géants de plus de 275 pieds de hauteur et dont certains de ces ancêtres de bois ont plus de 2000 ans d'âge. Ces témoins du passé m'inspirèrent le goût de transmettre le grandiose de l'expérience mystique de la relation avec la plus belle création de Dieu après la femme, soit le cheval.

L'Histoire, c'est aussi des histoires. Je me suis dit et promis que je raconterais les miennes.

Le cheval m'a sûrement beaucoup appris et m'en apprend encore. Il a contribué à retracer en moi le chemin qui explore ma sensibilité et mon enracinement à cette terre.

J'espère que vous aurez autant de plaisir à lire ce recueil d'histoires et d'anecdotes que j'en ai eu à l'écrire.

Aujourd'hui, j'ai mon entreprise, un commerce ambulant dont la vocation est de dynamiser l'univers équestre avec des produits, des services et des conseils. Ma maxime : Prenez contact et découvrez le paradis.

Gérald LeBlanc Cavalier certifié – PNCE odyssee-chevaline.com

 

Georges Meunier

Enfin ! le 2e tome de sa trilogie, Georges Meunier se raconte, La révélation était attendu par des lecteurs qui ont apprécié Un enfant dans la tourmente. Dès son jeune âge, il a toujours voulu écrire, et l’autodidacte retraité fait nos délices.

1945. La guerre est terminée. Georges a grandi, mûri. L’adolescent de seize ans vit toujours avec ses parents dans leur logement à Montréal.

Le père a bien changé depuis. René ne reconnaît plus chez le garçon les belles espérances d’avenir. Les critiques pleuvent. Privé de l’affection de ce père qu’il admirait tant, Georges refoule au tréfonds de son être ces moments de tristesse.

Laurette, la mère, dont les sentiments sont partagés entre le jeune et son homme, ne fait rien pour améliorer le climat tendu. Une lueur d’espoir pointe. Les fera-t-elle profiter d’une offre alléchante, qui pourrait alléger leur sort ?

Une tante, chez qui le fils mal aimé va pensionner quelque temps, lui confie un secret… Quel est donc ce fameux secret ?

 

Orange bateau qui vogue
Sur le large des rêves,
Le voilà sans trêve
Avec un troubadour qui divague

Cosmos entre nos âmes
Éternelles, à nos rames!
Voyage vers l'inconnu,
Passant sur l'impromptu.

 

Véronique, l’héroïne de ce roman biographique, continue de nous livrer des confidences étonnantes. L’évocation de ses souvenirs heureux, intrigants et parfois dramatiques, ont convaincu l’auteure de rédiger le tome II, L’amour source de courage.

C’est à l’aube d’un matin ensoleillé de juillet que le Bonheur déniche enfin l’adresse de Véronique et Léonard. Le couple vit une plénitude quasi euphorique.

Toutefois, ils ne sont pas au bout de leurs peines car un événement insidieux viendra les marquer à tout jamais. Sans compter qu’un défi colossal les attend encore à l’aube de la Révolution tranquille.

À 38 ans, Léonard, en quête de sécurité et de paix, embarquera femme et enfants dans une aventure pavée d’incertitudes et sans doute de nouvelles embûches. La résilience du couple survivra-t-elle aux assauts de l’inconnu et du temps?

Jusqu’ici le courage et la sagesse des époux ont soutenu la complicité née de la passion qui les avait unis. La peur de l’avenir deviendra-t-elle un handicap pour Léonard qui, pourtant, ne manque pas de fougue ni de détermination?

Dans une écriture vibrante, l’auteure fait cheminer ses personnages dans un contexte en effervescence. La magie des mots et la sensibilité qui s’y cachent envoûteront vos heures de lecture et vous transporteront au cœur de ce qui fut la saga de leur vie.

 

Cette infection se transformera rapidement en une pandémie mondiale et Nicolas devra mener sa quête contre la montre afin de sauver ceux qu’il aime. Tout au fond de lui, il est convaincu de connaître le secret du traitement et il devra remuer ciel et terre afin de trouver le remède qui pourrait les sauver tous. Cette croisade mettra en péril son droit de pratique tout en honorant son serment de sauver des vies. Y parviendra-t-il?

Partagez la vie trépidante de notre chirurgien et suivez-le dans cette nouvelle aventure qui saura vous captiver du début à la fin.

Éric Renaud est né dans l’Outaouais en 1961. Jeune, il développe une véritable passion pour la lecture. Il choisit de devenir chirurgien orthopédiste et obtient de nombreux diplômes d’études supérieures aux universités de Montréal et de Toronto. Ce n’est qu’après vingt-cinq ans d’université qu’il se sent satisfait de sa formation et qu’il atteint le sommet de sa profession. Un souci de santé le force à reconsidérer ses priorités dans la vie et fait place à l’artiste en lui. Conférencier et auteur de plusieurs articles, il nous offre, comme deuxième roman, un thriller médical : Le chirurgien et la Fleur bleue.

 

Auteur, concepteur, Jean-Pierre Veillet évolue depuis toujours dans la création. Enseignant en arts plastique et dramatique depuis 6 ans, il écrit aussi des concepts scénarisés pour des films d’animation et des téléséries.

Il s’est mis au défi de jumeler une approche de divertissement à un volet éducatif, afin de montrer la beauté de notre monde au lecteur entre 7 et 77 ans.

Un jour, j’ai eu l’occasion d’être invité dans une école secondaire pour présenter le texte « L’invention du Clown », celui-ci a été comparé au livre Le petit Prince de Saint-Exupéry, alors que d’autres ont trouvé que le Clown parlait à l’âme, à notre intérieur.

Tous ces commentaires sont valorisants. J’espère sincèrement que ce conte vous apportera un doux vent, qui parfois passe rapidement dans la vie d’un enfant, et que ce souffle vous donnera un élan tout au long de votre vie.

Il s’agit de prendre le temps et de ressentir que chaque seconde, chaque moment, a son importance, avec toutes ses nuances, car la grandeur ne s’atteint pas les yeux fermés.

Bonne lecture.

 

Natif de Montréal, d’une famille de dix enfants, Bernard est le p’tit dernier. Il y avait un piano à la maison et plusieurs des filles en jouaient, de bien à très bien. Sa mère, qui avait une très jolie voix, jouait également du piano, et son père du violon.

C’est dire que Bernard a baigné dans la musique dès sa tendre enfance et il est tombé amoureux du piano. Cours privés de piano d’une demoiselle Morin, et plus tard à Vincent d’Indy.

En même temps, Bernard a toujours aimé l’écriture, alors le sujet de ce livret est devenu l’inspiration et le prétexte à l’union de ses deux passions : l’amour des mots portés par la musique

Un ciel tendre se blottit contre le lac et quelques petits flocons de nuages grassouillets d’un blanc lumineux s’y baignent allègrement.

La brise est chaleureuse en ce mois de juin, l’eau est calme et frissonne légèrement, nous marchons tranquillement sur la berge sandales aux pieds, ma femme et moi.

Elle me sourit de son air coquin, Dieu que je l’aime, cette femme! Nous planifions la suite de cette belle journée. Nous sommes heureux, la vie est belle… la vie est pastel.

Mais un intrus viendra chambouler toutes nos certitudes et le cheminement de nos vies à jamais.

Cet intrus a pour nom…

 

Redécouvrir un peu plus tard dans la vie toute la beauté de mon village natal. Savourer les marques d’un passé inoubliable. Vous raconter à ma façon mes souvenirs d’antan.

Comparer hier à aujourd’hui pour arriver à la conclusion que n’importe où l’on a grandi, la nature, les maisons et les choses demeurent toujours pareilles.

Seules les personnes, avec le temps, sont devenues des personnages et font aujourd’hui ma richesse intérieure.

Apprendre en écrivant mon passé et constater que le présent n’est pas si différent qu’on le prétend.

 

Avec les yeux d’un grand père et le cœur d’un enfant… de petites histoires de mon enfance, de mon temps passé à Fermont, près du Labrador.

N’importe où l’on a grandi, des anecdotes...

 

Louis Geoffroy fut un poète qui a expérimenté avec une rhétorique qui se détourne de la maîtrise des formes établies par la tradition. Son expérience poétique fut une constante révolte contre les idées reçues. C’est justement ce qui a incité l’auteur de ce mémoire à se pencher particulièrement sur le côté irrévérencieux et provocateur dans son étude sur ce poète de la nuit.

L’ensemble de l’œuvre de Geoffroy demeure chantante malgré la totale désintégration de son langage poétique. Quoique décédé trop tôt pour nous laisser une production littéraire d’envergure, Louis Geoffroy nous lègue un héritage d’une grande densité humaine.

Marcel Fabien Raymond est né à Montréal en 1943. Poète, éditeur et peintre. Il a obtenu son Baccalauréat ès Arts à l’Université Concordia en 1973. Il a étudié le droit pendant les deux années suivantes. Il a fondé Les Éditions MFR en 1978. Il est membre de l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) et est aussi un très actif associé des Archives gaies du Québec (AGQ)

 

Mon métier de technicienne en documentation m'a permis de gagner ma vie entourée de livres

Maintenant à la retraite, le moment est venu pour moi de me retrouver "derrière la caméra" ou plutôt devant mon ordinateur, afin de plonger dans l'univers fascinant de l'écriture.

Novice dans le domaine, je n'osais pas encore lâcher la bride à l'imaginaire.

Un sujet s'est alors imposé à moi. Ma mère, Béatrice Thibeault. Une femme extraordinaire qui a laissé sa marque dans sa région, la Haute-Côte-Nord, en étant de toutes les causes, les associations, les batailles, travaillant sans relâche comme présidente de Fédération des Cercles de Fermières, maire, et même préfet de comté.

Honorée à plusieurs reprises, cette femme dont la vitalité, la force de caractère et la confiance inébranlable en la vie a fait sauter des barrières favorisant l'avancement des femmes en région.

Mère de 10 enfants, son plus précieux trésor, elle a réussi à leur prodiguer une présence attentive malgré le tourbillon effréné généré par ses activités extérieures.

Elle appartient à cette catégorie de femmes dont le Québec peut être fier car, autant dans le privé que dans le public, son énergie inépuisable se nourrit d'une vie intérieure intense et son charisme éblouit tous ceux qui l'approchent.

Lors de mes visites épisodiques à la maison familiale, assise près d'elle, mon calepin à la main, je l'ai écoutée longuement me raconter plein d'anecdotes sur son passé. Une vie pleine de rebondissements, à l'image d'une femme active et intense.

Je vous la présente... Madame Béa.

Claire Maltais

 

Une tempête aveuglante de février donne naissance à l’une des plus grandes histoires d’amour du Québec. Ce volume nous dévoile rien de moins qu’une aventure inédite qui sait se distinguer avec grâce d’un roman à l’eau de rose.

Forts de leur amour, Véronique et Léonard ont élaboré de grands rêves. Malgré la peur de faire fausse route, malgré la crainte du rejet, la jeune Véronique désire ardemment unir sa vie à l’élu de son cœur. Pour en finir avec les regrets et les non-dits, pour aller de l’avant, pour tourner la page... et voler vers son Don Juan, elle ouvre ses horizons vers la grande aventure. De son côté, Léonard est prêt à tout pour voir briller les étoiles dans les yeux de sa bien-aimée.

Les tourtereaux chantent leur amour, mais la félicité recherchée est lente à se manifester. Amoureux des défis, le travail joue un rôle prépondérant dans leur vie de couple. C’est alors que Véronique se tourne vers son époux pour mieux puiser sa force. Quant à Léonard, il compte sur elle pour mieux se relever. Au coeur de leurs tempêtes, qu’adviendra-t-il de leur passion de s’aimer qui ne tient que par un fil à une seconde passion, celle de réussir?

Leur doux rêve de s’entourer d’au moins cinq enfants demeure inassouvi. L’espoir et la détresse se chevauchent. Boiront-ils leur coupe jusqu’à la lie?

Après avoir réalisé un succès avec ses deux premiers volumes, Fleuris là où tu as été semé et Sur la route de l’espoir, nous retrouvons aujourd’hui Viviane Dubé Ouellet dans un roman biographique bouleversant d’émotions. Avec des mots qui dévoilent sa profonde sensibilité, l’auteure nous présente le premier tome de L’amour, source de courage. Cette oeuvre à la fois douloureuse et lumineuse se révèle avant tout un puits de sagesse et de courage.

 

Je dévoile les passages les plus marquants de ma vie.

Dans un style maintes fois émouvant, choquant pour certains lecteurs et lectrices, hilarant à plusieurs moments et très déterminant. Je relate les étapes de mon moi, mon drame, mes mariages, mes péripéties, mes secrets enfouis depuis des années, et enfin, ma libération et mon bonheur.

J’ose écrire les pires vacheries, les anecdotes cocasses, les meilleurs instants aussi, tout ce que je n’ai pas pu dire de peur d’être jugée. La vérité qui n’est pas toujours bonne à dire, au lieu de la crier sur les toits, car elle est trop profonde, je l’écris tout simplement.

J’aimerais, en témoignant de ces faits vécus, avoir réveillé en vous, chers lecteurs et lectrices, l’audace de ne plus avoir peur du jugement et de se faire montrer du doigt.

Mes expériences vécues, je les partage avec vous en toute honnêteté et sincérité. Certains vont se reconnaître pour avoir vécu semblables situations, je suis en mesure de vous comprendre, j’espère vous avoir tenus en haleine et, peut-être, vous avoir donné du réconfort.

Je ne fais pas pitié. Je m’estime chanceuse d’être vivante avec ma tête sur les épaules et un côté bouffon pour faire rire les gens.

Je me suis libérée de la haine et de la colère refoulées, je ressens un immense bien-être, une joie indescriptible, maintenant je peux en parler en toute aisance, en LIBERTÉ ABSOLUE.

Bonne lecture

 

Jacques Maltais, mécanicien et véritable touche-à-tout, a quitté le mur-écran de Fermont après 30 ans, et le clown (Voyou, Bonbon, Maboul Denoel, Gildor Lamontagne) a cherché longtemps le bonheur dans toutes sortes de choses :

Lors d’un séjour d’une semaine dans un camp de retraite, Jacques Maltais, l’auteur, se retrouve seul face à lui-même. Dans un style imagé, ce raconteur-né nous amène avec lui dans ses marches quotidiennes où tout est prétexte à la découverte. Tous ses sens sont en éveil. Il regarde, écoute, goûte à cette nature qui l’entoure. Chacun de ses pas le conduit en des terres inconnues qu’il essaie vaillamment de conquérir. Une recherche de l’homme qu’il est, qu’il était et qu’il veut devenir. C’est un voyage fascinant qu’il nous fait partager.

Suivons-le...

 

Pour avoir gardé le silence, j'ai permis à mon agresseur de répéter son crime à plusieurs reprises sur moi et sur d'autres.

D'en avoir gardé le secret, j'ai fait de ma vie un enfer en souffrant de graves désordres émotifs et mentaux. J'ai frôlé la mort à plusieurs reprises sans même le vouloir.

D’avoir voulu étouffer par l’alcoolisme la souffrance criante dans mon corps, dans ma tête et dans mon cœur, j’ai chambardé mes relations interpersonnelles trop longtemps.

D’avoir avoué, trente ans plus tard, que j'avais été victime de viol et d'inceste dès l'âge de mes 10 ans, par miracle, j'ai repris ma vie en main afin de conquérir ma place au soleil.

D’avoir eu Le courage de renaître pour émerger de l’alcoolisme, j’ai gagné l'estime de moi, puis transformé ma vie en abondance et en bienfaits. Ma sobriété m'a permis de réaliser tous mes objectifs. Et à Noël 2008, il y avait quinze personnes et plus à ma table.

Je souligne que ce récit est une histoire vraie.

Je célèbre avec fierté mes 20 ans de sobriété,

Quand je pense que, pour 99 % des gens autour, j'étais pourtant un cas irrécupérable...

 

Longueuil, sur la rive sud de Montréal.

L’inspecteur Jean-Claude Levrier est chargé d’une enquête pour meurtre. La victime est une jeune dame. Une série d’événements se succèdent à un rythme effréné. Son enquête le mènera aux portes de son enfer.

Yvon Moranville, natif de Saint-Jérôme, a étudié en finances aux H.E.C. Retraité du domaine municipal depuis 1998, il se commet dans son premier roman, L’insomniaque.

 

Éric Renaud est né dans l'Outaouais en 1961. Jeune, il développe une véritable passion pour la lecture. Il choisit de devenir chirurgien orthopédiste et obtient de nombreux diplômes d'études supérieures aux universités de Montréal et de Toronto. Ce n'est qu'après vingt-cinq ans d'université qu'il se sent satisfait de sa formation et qu'il atteint le sommet de sa profession. Un souci de santé le force à reconsidérer ses priorités dans la vie et fait place à l'artiste en lui. Conférencier et auteur de plusieurs articles scientifiques, il nous offre un premier roman à saveur médiévale avec un clin d'oeil à sa vie de chirurgien : Le chirurgien qui rêvait d'être chevalier.

Après une longue nuit à réparer des os brisés et à recoudre des chairs déchirées, Nicolas Renault, chirurgien orthopédiste, s'assoupit dans le grand salon des chirurgiens. Ce sommeil le fera glisser dans un rêve surréaliste qui se passe à l'époque médiévale dans un lieu qu'il jurerait reconnaître. Il découvrira l'amour à travers les yeux de Mérik, un valeureux chevalier, qui tentera de sauver son monde. Il vivra une histoire passionnante avec des personnages qui le replongeront dans les valeurs de ces temps oubliés. Les frissons qu'il aura à son réveil sèmeront un doute dans son esprit : ce rêve est-il prémonitoire ? Serait-ce la preuve que nous avons bel et bien une mémoire cellulaire ?

Critique du roman sur le site Web de Planète Québec

 

Sylvain Lacharité est enseignant en anglais au primaire à Drummondville depuis 1992. Passionné d’écriture, il aime toucher à plusieurs genres littéraires : romans, théâtre, films et humour. Son imagination fertile et sa plume vivante nous entraînent dans un univers parfois loufoque, parfois sombre. Avec lui, on ne sait jamais à quoi s’attendre! Le premier tome de sa trilogie, MAX Fouineur et le secret de la pyramide, vous entraînera dans un monde où mystère et énigmes vous tiendront en haleine jusqu’à la fin.

Que contient cette mystérieuse boîte verte que Maxime Lussier a découverte sur un des rayons de la bibliothèque de son école? Sans le vouloir, il découvre un organisme clandestin dirigé par les membres du personnel. Une mystérieuse réunion dont il est accidentellement témoin éveille les soupçons de l’ennemi à son endroit. Plus que jamais, il devient un témoin gênant qu’il faut éliminer à tout prix.

Maxime devient alors Max Fouineur, un super détective dont lui seul connaît l’identité, et se donne la mission de démasquer ce mystérieux secret qui risque de changer le sort de l’humanité. Dans quoi s’est-il embarqué? Le secret de la pyramide vous le dévoilera!

 

Les hommes m’ont toujours poussé à les dépasser,
et les femmes m’ont toujours poussé à me dépasser.

Patrick Larose est né à Trois-Rivières le 14 septembre 1971. Fort d’une jeunesse mouvementée, ses nombreux voyages aideront à forger son caractère et sa plume. La littérature s’imposera à lui au début de la vingtaine mais c’est mûr de ses trente-cinq ans et bien installé dans son nouveau village d’adoption qu’est Saint-Boniface-de-Shawinigan qu’il nous livre son premier roman : Le pardon d’Alicia.

Saurez-vous faire le pas qui vous mènerait au pardon d’Alicia?
Derrière deux années et demie d’écriture, ce texte mûri vous posera en juge face à la souffrance d’un homme, dont le hasard de la vie s’est chargé de le séparer de ses deux grands amours.
Vous vivrez, sous ses mots, le dernier mois d’une existence chaotique où la sagesse, l’amour, la furie, et peut-être le pardon, viendront s’entrechoquer dans sa tentative d’une compréhension expiatoire.

 

Tout jeune, je m’aperçois que cette existence-là ne peut me contenter longtemps. Toujours travailler, rien. C’est dur bien des fois.

Avec mes amis, on part voir les bateaux qui passent au Mont-Royal. J’y vais seul de temps en temps me guérir l’âme en me tenant contre les arbres.

 

Un jour, je fus aimé... Je l’ai envoyée au balai! Elle n’a pas compris. Pour moi, je ne veux pas que personne perde l’avenir pour moi. Je ne sais pas ce que l’avenir va me réserver. C’est pour ça que je ne veux pas m’attacher.

 

Un samedi soir, j’ai écouté les nouvelles de l’autre bord. 1940, la guerre… Je veux joindre mes amis qui y sont partis l’année d’avant. Mes parents, eux, m’en veulent que j’aie laissé mon travail pour l’armée…Ils m’ont dit : « Tu es fou. »

 

Un beau jour, c’est Ma Victoire.

 

Face à cet avenir, séchant mes pleurs, je me sens enthousiaste et confiant. Je rends grâce au Seigneur.

 

l’écho des mots
vers vous
par vous

 

je suis Jovette Ruth,
fille de Léa et petite-fille d’Olive
et de tant d’hommes aux bras vaillants

 

dans mon sang français, anglais et amérindien
coule aussi l’eau de mer
et la sève verte de ma vie

 

Dans ce livre, les thèmes marines, natures, fantasmes, villes, désuets sont autant de facettes d’un même regard poétique.

 

 

L’auteur est née en Gaspésie. À Montréal, elle a étudié les beaux-arts et l’histoire de l’art, contribué à des revues culturelles, travaillé en milieu muséal. Elle a traduit de la poésie polonaise.

 

Son identité québécoise se décline entre l’Amérique, la France et la Pologne, entre la mer et la forêt, entre la grande nature et l’art.

 

Daniel Poisson
Daniel Poisson est président-directeur général de la Société Innovatech du Sud du Québec depuis 1999. Il détient une maîtrise en administration des affaires (MBA) de l’Université de Sherbrooke ainsi qu’un certificat en recherche et rédaction. Enrichi par ses 35 années d’expérience au sein de l’entreprise privée et du gouvernement, il est reconnu comme étant innovateur tant au plan stratégique qu’opérationnel.

Gilles St-Pierre
Professeur à la Faculté d’administration depuis 1993, Gilles Saint-Pierre a été directeur de l’Institut d’entrepreneuriat de l’Université de Sherbrooke de 1994 à 2003. Il est détenteur d’un doctorat en science de gestion de l’Université de Montpellier (France) et d’une maîtrise en gestion des PME de l’Université du Québec à Trois-Rivières. Auparavant professeur de stratégie et d’entrepreneuriat à l’Université du Québec, il y a d’ailleurs fondé la revue Organisation et Territoire. Auteur et co-auteur de plusieurs volumes sur l’entrepreneuriat et le travail autonome, ses intérêts de recherche actuels regroupent l’entrepreneuriat technologique, le travail autonome et l’intrapreneuriat.

Sylvie Laferté
Détentrice d’un doctorat en administration de l’Université du Québec à Trois-Rivières, Sylvie Laferté est professeure en marketing et management à la TÉLUQ (Télé-université). Elle est aussi auteure de plusieurs livres ou chapitres de livres portant sur l’entrepreneuriat, le travail autonome et le démarrage d’entreprise.

Lisez ce Guide de démarrage d’une entreprise technologique de prime abord pour simplement connaître le processus d’entrepreneuriat technologique.

Vous, scientifiques québécois, réalisez votre plein potentiel par l’entrepreneuriat, grâce à l’illustration de complémentarité des savoirs chez les deux entrepreneurs de Biocean Novatech et des solutions de rechange en investissement financier chez Callio Technologies.

Et si vous voulez vous lancer dans une telle aventure, voyez-y les règles de base de financement par capital de risque et un plan d’affaires proposé.

 

Professeur et femme d’affaires originaire du beau coin de pays situé entre Sainte-Anne-de-la-Pocatière et Rimouski, Viviane Dubé Ouellet sait décrire les caprices de la nature, ses splendeurs et ses secrets. Elle exprime les sentiments des âmes simples mais pas nécessairement sans histoire. Elle semble née pour nous conter cet isolement où la vie de chaque jour demeure une aventure. Sous les non-dits, elle fait parler les cœurs.

On suivra avec émotion les aventures d’Esther et d’Antoine, accompagnés de leurs fillettes, à la recherche de la sécurité et de leur intimité, dans un pays de neige, loin du fleuve, là où il n’y a pas encore de chemin de fer. Pour cultiver et fleurir là sur ces terres rocheuses, la famille Côté va devoir affronter la nature d’abord, mais aussi la pauvreté, la mort d’un premier fils, puis la revanche des berceaux prônés par les autorités.

Devant toutes ces épreuves, le couple tient bon jusqu’au jour où Antoine, dépassé par les événements, agit sur un coup de tête. Au milieu de la tourmente, notre héroïne met le cap dans une autre direction. Ses personnages nous bouleversent à force de générosité.

Sur la route de l’espoir se situe dans une épopée majeure. Suite à Fleuris là où tu as été semé, ce roman historique vous envoûtera dès ses premiers frémissements, vous emportant au plus loin, au plus haut, au plus profond des années 1929-1939, secouées par la Grande Dépression suivie de la Deuxième Guerre Mondiale, et de la période d’après-guerre, 1945-1960, ère de progrès, de changements et d’industrialisation.

Au cœur même de cette époque, dans une fresque fidèle, l’auteure, témoin attentive des émotions et des préoccupations de ses personnages, les dépeint avec justesse. La Révolution Tranquille coïncide avec les débuts de l’émancipation de la femme qui rejaillira, au cours des années 1970, à la manière d’un volcan sur toutes les couches de notre société. Tout juste sorti de la période de la Grande Noirceur, le noyau familial en subit les contrecoups. L’héroïne méconnue, qui a choisi de marcher dans des sentiers non battus, n’a jamais failli sur la route de l’espoir.

 

Native de l’uruguay et immigrante au Canada, Inés Espasandin, l’auteure nous amène À la lisière du bonheur, au monde de son enfance et de son adolescence vu des ses yeux d’enfant. Colorée des traditions familiales entre la paisible rivière de ses jeunes années jusqu’à la mer agitée qui débouche ouvertement à l’océan; là ou elle retrouve la réalisation, de l’autre bord de sa lisière.

 

Une idée, un besoin, une passion et l’écrit vint.

Huit hommes, uniques, venus d’horizons divers, témoignent à cœur ouvert de leurs parcours de vie personnels.

Faits marquants, rencontres déterminantes, choix assumés, chaque existence révèle toute sa richesse.

Les protagonistes de cet ouvrage portent un regard lucide sur la société actuelle, sur leurs rêves et ambitions, leurs regrets et leurs plus beaux souvenirs.

Avec une moyenne d’âge de 80 printemps, la mort se rapproche lentement d’eux, ils en parlent sans crainte et expriment leur pensée profonde sur l’après-vie, sur l’au-delà inconnu.

J’ose espérer que ces récits, ces HISTOIRES D’HOMMES trouveront une résonance significative auprès de vous, lecteurs. Que vous pourrez y puiser force, espoir et sagesse, peut-être même y découvrir des réponses aux mystères existentiels universels.

Et alors, il n’y aura pas d’écrit vain.

Jean-Pierre Frick
Écrivain…

 

Demain c’est maintenant se veut une ouverture spirituelle pour un monde en quête de recherche d’une compréhension et d’un bien être intérieur.

En toute simplicité, le Guide nous entraîne dans un cheminement par des conseils et des explications, puis nous conduit à Dieu Notre Créateur qui nous amène dans la nature pour nous montrer la profondeur et la dimension de notre être, tout en nous aidant à faire l’équilibre en soi.

Madeleine Babin Levac, retraitée après 37 années dans le domaine de l’assurance.
Ma vie a toujours été orientée vers la spiritualité depuis ma jeunesse, et j’ai une grande foi en Dieu le Père. Depuis plus de vingt ans, je fais du bénévolat aux niveaux communautaire, paroissial et politique. Mon conjoint, Robert Levac, et moi œuvrons dans différents mouvements tels que Chevaliers de Colomb, Filles d’Isabelle, ainsi qu’Alhambra qui est un groupement d’aide à la déficience intellectuelle.

 

René Jacques-Morin, de Haiti, (W.I.) est travailleur social, affilié à l’Ordre professionnel des Travailleurs sociaux du Québec (OPTSQ), détenant une Maîtrise de Fordham University, de New York City, et la Licence comme Travailleur Social Certifié de Albany, USA, outre sa Licence de Droit du Conseil de l’Université d’État d’Haiti. Actuellement en retraite après une longue pratique servant à l’Office d’Analyse de Législation (OLA), Human Ressource Administration, New York City,

TERRE GLISSÉE offre une image, sous-jacente, de la déconcertante faillite d’une société humaine essentiellement autodestructrice et devenue déjà l’impuissante esclave de ses propres accomplissements.

Considérant les trois systémiques piliers sur qui la société moderne s’appuie encore — le Prolétariat, l’École, le Professionnel —, organismes à présent assujettis au conditionnement par les décideurs, et même exclus la plupart du temps, l’auteur célèbre leur fonction.

Ils se manifestent désespérément : « Sans nous les travailleurs, les paysans, et la sueur de nos fronts, et la sueur de nos corps, la Cité périrait dans la disette ». De son côté, le scolaire, rejetant l’étouffante accolade du patronat, « célèbre le baptême sur l’esplanade ensoleillée des collèges, dans les cours obscures de lycées de province, au forum universitaire. » Et à son tour, aux côtés de l’artisanat, toute une pléiade forcée dehors par l’ostracisme, n’ayant plus rien à perdre, est là pour réclamer, désormais, dans un langage nouveau.

Par l’imaginaire, l’auteur, d’une façon convaincante, fait repenser à ces exclus, « ceux-là sur qui les nations fondaient leurs espérances »; le livre plaide l’avènement aux lendemains de lumière, aux lendemains meilleurs.

 

Il est l'auteur d'un premier recueil de poèmes : Oncle Chameau

Ô chevalier errant
Quelle route courageuse
Mais si orageuse
Je vais terriblement seul
Et je ne trouve que ce vide total
Et ce vide étrangement
Cette présence plus claire
D’une énergie forte
Comme une vie pas encore consumée
Qu’est-ce que cette affolante traversée du cœur
Qui me lance l’un des plus grands défis
Celui qui va me rendre pire ou bien meilleur

 

Pierrette Dorion, native de Montréal en 1929, doit son éducation aux religieuses de trois communautés. Membre des Curcilos, passée maître Reiki. REIKI signifie « force de vie, de Lumière, d’Amour ».
S’auto-guérir est possible. La kinésiologie lui permet d’aider les enfants dyslexiques à être plus performants à l’école et dans leur vie. Elle vous souhaite des chakras bien à leur place et ouverts comme une fleur de lotus aux mille pétales.

Des milliards de poussières
Dansent dans l’Univers
Et en un instant
S’entrechoquant
S’attirent, se touchent, s’aiment,
Deviennent UN.

L’immensité est pleine de Un, de dieux
Et l’amour, le souffle de vie
Crée les étoiles, les planètes.

L’homme ne voit plus sa lumière.

Reprenez confiance
Et la lumière de nouveau brillera
Et vous libérera.

SÉNAKÉLA

 

Née en 1954, sixième d’une famille de sept, Ginette Gauthier habite la banlieue de Montréal. Une enfance difficile et un mariage gâché l’incitent à suivre son cœur pour s’installer en Mauricie. Armée de courage, elle tente un retour aux études. Au décès de son mari, en 1997, elle se lancera dans l’écriture. Son témoignage d’espoir démontre que, même quand tout semble désespéré, il est possible de tirer profit de ses souffrances.

Au-delà des larmes raconte la vie et les tourments d’une enfant mal-aimée. Née de parents qui, eux non plus, n’ont pas eu une vie de tout repos, abusée sexuellement, déjà avant d’entrer à l’école, elle dit avoir hâte de mourir pour toujours, comme si on pouvait mourir pour un seul jour.

Confrontée très tôt au traumatisme des foyers d’accueil, elle sombre dans une première dépression à 12 ans. Forcée par son père à épouser sans amour un homme alcoolique à 18 ans, elle a su se sortir de son enfer à force de détermination.
Quand le soleil semble enfin vouloir briller pour elle, elle doit affronter son pire cauchemar, le cancer. Son beau rêve d’être un jour mère vient de s’effondrer à jamais. Voulant conjurer le sort, elle se tourne donc vers l’adoption. Mais, après trois merveilleuses années avec son poupon, on lui en retire la garde. Les parents on changé d’avis.
C’est alors la descente aux enfers, le divorce, et finalement l’hôpital psychiatrique, la venue de nouveaux conjoints qui l’ont tous marquée, l’un après l’autre.
Maintenant, elle ne veut plus se battre. Cela ne sert plus à rien… jusqu’au jour où il est apparu dans sa vie.
Aujourd’hui, elle sait qu’il y a toujours quelque chose au-delà des larmes.

 

Un enfant dans la tourmente raconte l’histoire de Georges, de l’âge de quatre ans jusqu’à l’aube de son adolescence. Interné dans une institution psychiatrique pour des troubles de comportement, l’enfant vit des moments difficiles. Il s’imagine que ses parents l’ont placé à l’asile pour se débarrasser de lui. À l’intérieur des murs de l’institution, des amitiés se nouent, des gens l’aiment.

Les jeunes longent les clôtures, s’arrêtent parfois pour observer des individus privés de leurs facultés mentales, ces êtres au comportement bizarre, errant comme des zombies.

«Pourquoi y ont c’te drôle d’air? Et pourquoi ils marchent tout le temps la tête basse, comme s’ils avaient des chaînes aux pieds et une grosse roche autour du cou comme des prisonniers?»

Retraité depuis quelques années, Georges Meunier vient d’écrire le premier tome d’une trilogie. Depuis son jeune âge, il a toujours voulu écrire. Conscient de son manque de formation, il est allé chercher les outils nécessaires. Cours de français, ateliers d’écriture. Autodidacte, il a appris de lui-même à se servir du traitement de texte.

 

Josée Amesse est née à Montréal. Elle a étudié en lettres au Collège Marie-Victorin et en littérature française à l’Université McGill. Elle est traductrice en pratique privée depuis bientôt onze ans. En 1999, elle a publié un recueil de poésie à compte d’auteur intitulé Ma douce passion.

Ivresse d’amour est son premier roman et marque la réalisation d’un de ses rêves les plus chers. Son personnage principal, Julia, traverse une sorte de voyage initiatique au bout d’elle-même qui l’aidera à guérir de sa mission impossible de vouloir sauver sa mère alcoolique. Elle finira par réaliser que toute sa vie, elle aura cherché à prendre une place qui n’était pas la sienne.

Par son écriture tendre, poétique et vivante, l’auteure nous plonge dans un univers d’émotions longtemps restées captives d’un jardin secret intime.

Lien au site Web de l’auteure : http://www.joseeamesse.com

 

Pourquoi ce titre? Que va-t-il se passer si chaque lecteur l'applique? Loin d'une provocation ou d'une poussée d'orgueil, c'est une invitation à revenir à l'origine, à l'essence de ce que nous sommes : des êtres divins, capables de manifester le bon, le beau, le vrai. Capables surtout de créer le paradis ou l'enfer dans lequel nous vivons.

Si chacun d'entre nous "Ose être Dieu ", un pouvoir nouveau va émerger, un pouvoir utilisant l'Amour Inconditionnel envers tous, y compris envers soi-même, une vision nouvelle, une compréhension différente de la Vie, l'établissement de relations humaines basées sur le respect, la collaboration et l'unité feront naître un monde où chacun pourra librement manifester sa divinité et créer sa vie.

En toute humilité, je partage avec vous ce voyage extra ordinaire au centre de soi-même, offrant à chacun, à l'arrivée, la possibilité de dire "J'ose être Dieu ".

À chacun, je souhaite une expérience enrichissante en compagnie des Dakinis, sur le chemin de l'Amour Inconditionnel.

Les 7 mandalas représentant chacun une ville ont été créés par Maryline Berthold, ma fille. Une copie de chacun d'eux est offerte à la fin du livre pour servir de support au cheminement du lecteur.

Lien au site de l’auteur : http://www.coeurdemandala.com

 

Le plus loin que le regard puisse donner naissance
À la louange du grand architecte
Les rayons du temps tourbillonnants
Sur les esquifs printemps de l’esprit infini

 

Il y a des gens dans mon temps qui m’ont dit : « Charles, tu es allé faire un long voyage.
– Oui. C’est pour apporter la paix dans le monde, après six années qui sont passées… au-dessus de nos têtes. »

Dans quelle galère t’es-tu embarqué, mon Charles?

Devant l’ampleur de la tâche, IL a pris le chemin souvent afin que personne puisse savoir l’ampleur de la peine qui est en lui pour toute la vie.

Il faut aller à d’autres places pour voir d’autres choses meilleures pour moi.

La Seconde Guerre mondiale, ça ne m’a rien donné à moi, mes paroles seulement, mais je me souviens. Et la vérité…

Je m’exprime à toutes les personnes – je, tu, il –, à partir de mes notes rédigées à la sauvette en mission de guerre, et ce que je vous écris, c’est la vérité qui vient de moi, de mon fond du cœur, jeune en ce temps, et vieux dans le moment.

Oui, depuis mon RETOUR À LA VIE CIVILE,
« ma peine est continuellement devant moi »

 

FLEURIS LÀ OÙ TU AS ÉTÉ SEMÉ raconte l’histoire de nos ancêtres depuis leur débarquement dans le Nouveau-Monde. Des hommes, et plus tard des femmes, ont été semés un peu partout le long du fleuve, plus précisément de Sainte-Anne-de-la-Pocatière à Rimouski. Ils ont fleuri contre vents et marées.

Professeur et femme d’affaires, VIVIANE DUBÉ OUELLET est originaire de ce beau coin de pays. Sa retraite lui permet d’entreprendre l’aventure qu’elle caresse depuis longtemps. Elle doit donc faire connaissance avec les anciens afin de redécouvrir les premiers balbutiements des pionniers de cette région enchanteresse. Cette recherche lui a ouvert plusieurs portes, et elle s’est retrouvée dans le paysage historique, social et politique de leur époque.

Rédiger ce récit lui a procuré une évasion enrichissante à tous points de vue. La lecture ponctuée de régionalismes vous transportera dans un monde presque irréel. Vous accompagnerez les bâtisseurs hors des sentiers battus et vous vous réjouirez de leurs réalisations.

En parcourant des anecdotes pittoresques, vous rencontrerez des protagonistes et vous éprouverez une grande fierté de compter parmi les descendants de ces colons français. Ils vous feront vivre de belles émotions car vous partagerez leurs joies, leurs peines, leurs déceptions et leurs espoirs. Avides de connaître leurs valeurs, leurs mœurs et leurs traditions, vous y puiserez à souhait.

Un voyage dans le passé, assis au coin du feu, en compagnie de personnages authentiques qui ont traversé le temps passionnément...

 

L’un des pionniers du syndicalisme québécois dans les mines, Roger Bédard, s’est appliqué à promouvoir le respect de la dignité de l’homme au travail depuis les tout débuts de sa carrière de travailleur et de syndicaliste.

• 1959  Premier mémoire syndical québécois sur la prévention des accidents.
  
• 1962  Membre de la 2e Conférence du Commonwealth, sur les conséquences humaines de l'industrialisation,
  
• 1976  Délégué canadien à la 1ère conférence mondiale sur la santé, secteur de la métallurgie, à Oslo en Norvège, il est à l’origine du rapport Brundtland sous la présidence de Madame G. Harlem Bruntland, Premier Ministre de la Norvège, adopté par la plupart des pays industrialisés.
  
• 2003  Auteur de La grève de Gaspé Copper au jour le jour

La grève de Gaspé Copper, au-delà de Murdochville, a touché le Québec entier. Cette grève amène l’auteur à conclure que notre démocratie n’est pas celle du peuple, par le peuple et pour le peuple, mais bien celle de l’argent, par l’argent et pour l’argent. Dans notre société, il existe deux sortes de citoyens : d’une part la « personne humaine », et d’autre part la « personne morale ».

 

La personne humaine, être vivant régi par les lois fondamentales de la vie (air pur, soleil, eau, nourriture), est celle qui parle, bouge, forme une famille et peut engendrer la vie elle-même en concevant des enfants. Elle a une intelligence, une âme. Son existence seule suffit à la reconnaître, la prouver. Sa présence seule suffit à lui donner son titre de citoyen ou de personne humaine.

 

Au contraire, la personne morale que constitue une compagnie n’a rien de vivant. Il ne s’agit que d’un groupement de capitaux, qui n’existe que par l’attribution de documents que lui octroie la société civile, en vertu d’une loi constituée par l’homme.

 

Lorsqu’un pays est en guerre, par exemple, ce sont les personnes humaines, et non les personnes morales, qui prennent le fusil, qui sont malades, qui souffrent. Les personnes morales iront même fabriquer et vendre des armes au pays contre qui nous sommes en guerre.

 

Et pourtant, on leur attribue des droits nettement supérieurs à ceux consentis à la personne humaine. Notre démocratie a donc dégénéré, à notre insu, revenant au temps de la démocratie primaire grecque au sein de laquelle les esclaves n’étaient pas des citoyens, et que seuls les riches gouvernaient et jouissaient d’une démocratie bien à eux. Et ainsi, lorsqu’on déclare vivre dans une société démocratique, nous nous mentons à nous-mêmes, nous nous nourrissons d’illusions car, en fait, ce sont les riches qui contrôlent tout.

 

Je remercie Dieu qui m’a donné la chance de rester vivant.
J’ai pensé vous écrire mes mémoires d’un soldat de cœur.

Ça m’est souvent passé dans la tête. Je ne suis pas un grand écrivain, mais je fais mon possible, vous le voyez et constatez. J’ai regardé dans ma tête à moi et dans ma vie pour vous dire des moments où je voyais tout dans ma tête.

C’est très dur pour nos soldats. Je ne peux pas vous donner une seule idée que la guerre a fait beaucoup de dégâts. Il faut aller visiter toutes les places où j’ai été voir.

Ces pensées qui viennent du cœur et toutes les choses qui se sont passées devant moi durant les années dont je garde des souvenirs de jeune soldat de la guerre 1939-1945.

Charles Laforce
Soldat de l’Armée Royale du Canada, corps d’ingénieurs sapeurs, 3e bataillon du 316 - corps de génie, décoré des médailles commémorant le service militaire accompli au cours de la Seconde Guerre mondiale :

1. Étoile de 1939-1945 Bataille de Grande-Bretagne
2. Étoile de l’Atlantique Service – France Allemagne
3. Service volontaire 3 visages pour air – terre – mer
4. Service du Ministère de la Défense du Canada
5. Service des vétérans du Canada

 

Successivement chef de service hospitalier et coordonnatrice-adjointe à la direction de l'Enseignement universitaire de l'hôpital Louis-H.-Lafontaine, l'auteure Marcelle Desbiens est maintenant consultante en organisation des colloques-congrès.

 

En 1991, elle a écrit et publié le Guide pratique pour l'organisation de colloques, congrès, symposiums et journées d'étude, qui a été classé l'un des trois finalistes, catégorie innovation touristique, lors du gala des Grands prix du tourisme de l'Office des congrès de Montréal en 1992.

 

Pour assouvir son insatiable curiosité, Célian, jeune fille douée et sensible, troque la campagne pour la ville. Bien malgré elle, elle se retrouve face à un choix déchirant. Dictée par la peur, sa conduite sera-t-elle extrémiste?

 

On comprend, par la narration de son passé, qu'elle porte en elle les valeurs nobles d'un Québec rural. Courage et fierté sont ici plus que des mots.

 

Ce roman écrit dans un style avenant et simple est captivant. En effet, on découvre outre une galerie de personnages attachants, la vie familiale des années 30 du Bas du fleuve, au Québec.

 

CURIEUSE PEUR: un voyage dans le temps, mais surtout un voyage dans le coeur d'une femme qui mène avec détermination et force une lutte pour sortir de l'univers de la peur.

 

Le bonheur a lui aussi un prix, mais ajoutons aussitôt, est heureux seulement qui veut!

 

Yvonne de Corce a 94 ans. « J’ai 9 – 4 », se plaît-elle à dire.

 

Messagère du Cosmos, elle voit au-delà des frontières de la matière, au-delà du dernier souffle, la vie… infinie dans la puissance illimitée de l’esprit.

 

L’auteur de Magie noire, c’et le Christ. Il réalise que nos théoriciens cherchent à programmer le négatif, ce qui plaît aux capitalistes.

 

Il nous livre à la réflexion, la conscience, la vérité, la justice et l’amour.

 

L’œil ouvert sur la théorie nous laisse voir que nous avons négligé la conscience, la vérité, la justice et l’amour, pour s’adonner à l’orgueil, l’hypocrisie et l’égoïsme.

 

1999 Auteure d’un premier livre : Le dernier mot de Jésus-Christ – dialogue ave la Vérité

 

En ce recueil, je clive
Mots, Motions, Émotions.
Quoi que j’écrive,
Souvenirs j’inscrive,
Situations je décrive,
Causes’ je souscrive,
Quelqu’un j’étrive,
– tempête brève –,
Amitié je cultive,
À la vie attentive
Ma pensée s’active
À autre vécu relative.

Bien que l’on s’esquive,
Pour chacun un jour arrive
Où l’on atteint la rive
Sans voie « éjective »;
On « s’intériorive ».

Ainsi je récidive,
Tout méditative,
Et vous livre :
Mots, Motions, Émotions.

S’il en est une qui a inspiré les téléspectateurs par ses mots, motions, émotions, c’est bien Marie-Soleil Tougas à qui je dédie deux poèmes dont l’un a été lu en ondes, à la télévision de TVA, au lendemain d’un tragique accident d’avion en 1997. Ainsi, je souhaite que mon agencement de mots, en mouvements d’émotion, vous procure relaxation et motivation pour une motion vers l’action.

+ Denise Grondin-de Repentigny est auteure d’un premier recueil de poèmes, Un brin d’elle en « brindelles », un brin d’ailes pour vous (1997). Native de Saint-Méthode au Québec, elle a enseigné, fondé et dirigé une garderie, travaillé au module Entrepreneurs d’un gros courtier d’assurance, s’est impliquée dans le hockey mineur et la ringuette à Montréal, et ce, aux niveaux local, régional et provincial, puis a démarré son entreprise, Corritexte, a fait l’acquisition de MFR éditeur en 2002, et elle s’actualise en éditant de nouveaux auteurs qui désirent conserver leurs droits d’auteur.

 

Recueil de poèmes,
Un brin d’elle
En brindilles*.
Mots habiles
D’une frêle fille
Telle une chenille
Sortie de sa coquille.
Révélateurs de fraîcheur,
Parfois teintés de profondeur,
Tantôt dans la peau d’autrui,
Tantôt le miroir de sa vie,
Ses poèmes expriment
En liberté de rimes
Une partie infime
De vie intime.
Sinon ressentis,
Certains pressentis
Sont simplement dits,
D’autres en termes érudits.

* en « brindelles » = en brindilles : poèmes sans lien entre eux.

Ce recueil contient des réflexions sur la vie, des observations sur la société, de l’enfance à l’âge vénérable, sur l’actualité, le terroir, l’abus sexuel, la rupture, le chômage, les ordinateurs…

Lus par des privilégiés lors d’expositions, certains des poèmes transcrits sur des écorces de bouleau ont fait passer un « motton » ou des frissons sur les bras. Des hommes s’y sont reconnus aussi, tellement ils recèlent ou décèlent d’émotion et de véracité, proches de ce qu’ils vivent. J’espère que ce recueil de poèmes réalistes, hypothétiques ou humoristiques, vous donnera, comme à son auteure, des ailes.

 

• un livre qui en dit long sur le monde de l’édition
• des arguments solides
• des souvenirs amusants
• les avantages de l’auto édition
• une approche fascinante et différente
• un livre à lire si vous voulez publier votre manuscrit